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Les jeunes, comme l'an dernier, ont eu la possibilité d'animer l'une des deux messes d'accueil des fiancés. C'est même une chance. En effet, l'an dernier, à l'issue de cette messe, les jeunes ont eu l'occasion d'animer plusieurs célébrations de mariage. C'était pour eux un véritable témoignage, résultat de leur implication dans l'aumônerie, dans la paroisse, et aussi, fruit de leur audace, comme ils ont encore essayé de nous le montrer, une fois de plus. Certains pourraient dire qu'on ne voit pas beaucoup les jeunes, qu'ils se font rare. C'est vrai, de moins en moins de jeunes participent à l'aumônerie par rapport aux décennies précédentes. Mais, je pense qu'on peut se réjouir de voir des jeunes prendre une place, si petite soit-elle, dans la vie de la paroisse, et de ne cesser de les féliciter et de les encourager. Eux, mais aussi, tous ceux qui prennent des initiatives, des décisions, en particulier les fiancés, qui ont également besoin de se sentir accueillis et soutenus par une communauté.
Souhaitons, qu'un tel partage, un tel enthousiasme de la part de chacun, et cette même joie de se rencontrer, soit le fruit et l'occasion d'autres rassemblements de ce type.

Goeffrey et les jeunes de l'Aumonerie

La messe animée par les jeunes a servi de support à la rencontre des fiancés réunis dans le cadre de la préparation de leur mariage. Préparée de longue date, cette messe a permis aux jeunes de prendre la place que nous leur devons, à savoir d’être membre à part entière de la communauté. Même si quelques uns (très rares – je dirais 3 ou 4, et encore…) étaient chagrins, un grand nombre de personnes nous ont confié leur satisfaction à l’issue de la célébration. Nous tenons à faire partager notre satisfaction et notre amitié aux jeunes et à leurs accompagnateurs(trices). Continuez et sachez que vous avez tout notre soutien.

Les fiancés ont quant à eux réfléchis tout au long de la journée sur le thème : « C’est l’amour qui fait l’unité » et ils ont particulièrement apprécié la messe. Certains ont même contacté les jeunes pour animer la célébration de leur mariage, c’est dire l’intérêt qu’ils y ont porté. Pourquoi ne pas envisager qu’il en soit de même le 27 mars.

Philippe BENOIST et l’équipe de préparation au mariage